Recyclage, création & formation : Ouvrir le champ des possibles grâce à l’impression 3D et aux outils numérique
Point Fusion ASBL est un organisme d’insertion socioprofessionnelle (OISP) centré sur la « remobilisation à travers le secteur du métal » à destination de demandeurs d’emploi, libres, indemnisés ou de bénéficiaires du revenu d’intégration (CPAS) qui souffrent la plupart du temps d’une certaine forme de précarité de par leur fracture avec l’emploi, leur isolement social, et/ou les différents freins que l’association tente de lever (en lien avec des problématiques de logement, de finance, d’assuétudes, de justice, …).
Les différents objectifs de Point Fusion sont les suivants :
· Favoriser le droit à la formation : le centre a pour but de rendre accessible des formations professionnalisantes à la majorité des demandeurs d’emploi de la région et organise deux filières de formation : filière « soudure et tôlerie » (formation d’un an) et filière « numérique et industrie » (formation de 4 mois) ;
· Favoriser l’insertion socio-professionnelle : à travers différents modules de formation (soudure et tôlerie, remobilisation, brevet VCA), et ce, afin de développer différentes compétences utiles sur le marché du travail et/ou de lever certains freins empêchant cette insertion ;
· Favoriser l’émancipation sociale : outre l’emploi, Point Fusion se donne également pour objectif l’épanouissement personnel de ses stagiaires via un suivi psychosocial.
Le public est constitué de demandeurs d’emploi, libres, indemnisés ou de bénéficiaires du revenu d’intégration (CPAS) qui souffrent la plupart du temps d’une certaine forme de « précarité » – de par leur fracture avec l’emploi, leur isolement social, et/ou les différents freins que l’association tente de lever (en lien avec des problématiques de logement, de finance, d’assuétudes, de justice, …).
« Ce qui m’a vraiment porté lors de ma formation c’est le projet collectif. C’est vraiment à travers ce projet que le groupe, pour moi, s’est soudé. On s’appréciait déjà avant mais, après le projet ce n’était plus le même : on était vraiment un groupe. Il y a des gens qui se sont révélés, qui se sont impliqués chacun à sa manière et en fonction de ce qu’ils savaient faire. J’ai vraiment aimé car, moi qui ne connaissais rien au numérique et à l’électronique, j’ai appris et j’ai même pu aider les autres parfois. A la fin et à partir de pièces imprimées en 3D, on a pu créer un outil que les prochains groupes pourront utiliser et je trouve ça magique ».