LE MIROIR VAGABOND est une maison de quartier qui cible prioritairement les personnes précarisées économiquement, socialement, et culturellement : des hommes, des femmes, des jeunes ou des enfants, des chômeurs, des bénéficiaires du RIS, des « sans revenus », des résidents permanents de camping, des « sans logements », des belges, des immigrés, des demandeurs d’asile, des Gens du Voyage, etc.

Le Miroir Vagabond est une maison de quartier qui cible prioritairement les personnes précarisées économiquement, socialement, et culturellement : des hommes, des femmes, des jeunes ou des enfants, des chômeurs, des bénéficiaires du RIS (Revenu d’Insertion Sociale), des personnes « sans revenus », des résidents permanents de camping, des personnes « sans logements », des belges, des immigrés, des demandeurs d’asile, des Gens du Voyage, etc.

« Le Miroir Vagabond a toujours le souci, dans ses différentes activités, d’intégrer et de soutenir les populations en grande précarité. Il retisse des liens entre ces populations et les rouages de notre démocratie, les services sociaux, les institutions… mais aussi propose des formations adéquates et leur donne accès à la culture auquel elles ont droit. L’action « réinstitutionnalise » des individus en situation de pauvreté, tout en les orientant en fonction de leurs besoins, leurs compétences et leur savoir-faire ». (Patrick, animateur de quartier)

L’association offre une multitude de services et d’activités comme :

  • Des formations pour adultes : alphabétisation, confiance en soi, découverte de ses compétences, mobilisation citoyenne.
  • Des animations collectives dans les « milieux de vie » et des prises en charge sociales individuelles pour des questions de logement, de santé ou administratives.
  • Des ateliers d’expression et de créativité via des ateliers artistiques hebdomadaires ou des stages pendant les congés scolaires.
  • Travail de groupe sur différentes thématiques comme par exemple, la consommation, l’énergie, le rôle et la place de la femme, la sécurité sociale, l’emploi, le logement, la justice.

« Les ateliers me permettent de sortir de chez moi, voir du monde, rencontrer des gens. Ça fait du bien, on s’amuse, on rigole, on oublie nos problèmes… Les ateliers m’ont permis de tenir le coup dans les moments difficiles de ma vie, notamment lors de l’expulsion de mon logement, les déménagements fréquents et mon divorce récent… » Eva