Soutenir une épicerie sociale, c’est soutenir des milliers de familles
En Belgique, 1 personne sur 5 fréquente les services d’aide alimentaire. Les multiples crises ne font qu’aggraver la situation financière des familles appauvries.
Il y a des questions qu’aucune famille, qu’aucune personne ne devrait jamais être amenée à se poser. Se soigner ou acheter un cartable à son enfant ? Manger ou se chauffer ? Pour les familles les plus précarisées, la hausse actuelle des prix de l’énergie prend une tournure dramatique. Les associations, véritables filets de sécurité pour des personnes précarisées parfois prêtent à basculer en rue, mènent un travail essentiel encore davantage nécessaire depuis l’enchaînement des crises socio-économiques.
Aux Marolles, à deux pas du Palais de Justice de Bruxelles, l’épicerie sociale Capucines, soutenue par Action Vivre Ensemble, voit les rangs des personnes bénéficiaires gonfler semaine après semaine. Et encore plus particulièrement depuis les hausses des produits de première nécessité et des coûts de l’énergie.
Depuis près de vingt ans, cette association vient aux aides aux familles bruxelloises en difficulté financière en leur proposant des produits alimentaires et non alimentaires, variés et de qualité, à bas prix. Face à l’aggravation de la pauvreté, Capucines lance aujourd’hui le projet « Courses pour Tous ». Son objectif ? Empêcher de nouvelles familles de tomber dans un complet dénuement en finançant les courses qu’elles effectuent à l’épicerie sociale de la rue des Capucines.
Parrainez une famille dans le besoin !
Votre soutien leur sera essentiel.
Avec 60 € (33€ après déduction fiscale), vous offrez à une personne isolée la possibilité de faire ses courses à l’épicerie sociale pendant 3 semaines.
Avec 80 € (44€ après déduction fiscale), vous offrez à une famille la possibilité de faire ses courses à l’épicerie sociale pendant 2 semaines.
Avec 210 € (115€ après déduction fiscale), vous participez à l’aménagement de l’épicerie social (rayonnage, étagères de stockage, frigos etc).
« C’est la première fois que je viens à l’épicerie C’est difficile financièrement. Dans l’épicerie sociale se sent directement soutenue. Je n’ai pas de papier. En Belgique je ne peux pas travailler. J’habite Anderlecht depuis 5 ans. Je sociale, on peut choisir. Je veux des produits viens du Cameroun. J’élève seule mes 3 enfants sains pour mes enfants. Et aussi des produits avec des tout petits revenus. L’accueil ici est pour leur faire plaisir. Il y a des marques. Cela très bon. Les personnes souvent appréhendent nous permet d’être comme tout le monde. d’aller dans les services d’aide parce que c’est Quand vous pouvez dormir en sachant que une frustration de se sentir dépendantes. Être dans la semaine vous allez pouvoir nourrir vos bien accueillie, cela met en confiance et on enfants cela est réconfortant. »
Anne-Claire, 39 ans, maman célibataire de 3 enfants (11 ans, 9 ans et 5 ans)